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jeudi 15 janvier 2015

LA LIBERTE DE CENSURER



Cher contributeur,


Un après-midi de juillet 2014, je me rends dans la seule chaine de cybercafé disponible à Douala et Yaoundé. Je choisis celui du lieu dit "hotel du plateau", au quartier Essos. Je suis accompagnée d'une de mes proches, avancée en matière de blogging. L'idée est simplement de me préparer à publier ce billet, étant donné que "blogger" devient une de mes activités parallèle. Eh bien, figurez-vous que l'on m'annonce qu'il n'y a pas internet dans toute la ville.


"Etrange! mon cher Watson". Quelle vérité se cache derrière cet état de fait? J'hypothèse tout de suite le "complot d'Etat" orchestré par une chaine d'ennemis tapis dans l'ombre...intérieurement, je prends mon mal en patience avec ce refrain d'un succès camerounais des années 1990 : "on on on attend l'enfant, l'enfant ne vient pas IYEE!!!".

Plus respectueusement, l'opérateur public a d'énormes responsabilités relativement à ce genre de situations qui gènent la bonne marche de l'économie nationale. Est-ce d'ailleurs "normal" d'avoir une seule porte d'entrée d'internet au Cameroun? A vous de voir ou d'ivoire?

Comme le faisait remarquer Jacques Chardonne, "on abime la vie en acceptant n'importe quoi à la place du meilleur".


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